Bonjour, alors voilà, comme prévu une petite news HS aujourd’hui (enfin petite... ), je sais pas du tout quoi faire comme intro alors je vais juste vous dire que dedans je vais vous parler de ma vie et je vais vous raconter mon ressenti à propos de trois jeux créés avec RPG maker que j’ai testé récemment.
Là je vais vous parler de ma vie:
L'autre jour j'ai eu les résultats de mon concours. Je vais pas vous donner mon classement, parce que l'information importante c'est que: "Il y a très peu de chance que je fasse une troisième année de prépa scientifique" en gros ça veut dire que je serai surement moins pris par mes études l'année prochaine, donc c'est bien parti pour que Luminatis soit enfin un projet sérieux et que j'arrêterai de maker seulement 2 mois par an.
L'autre "bonne nouvelle", enfin, vous vous en foutez toujours (Souvenez-vous, je raconte toujours ma vie) c'est que je me suis commandé un nouvel ordinateur, pour ceux qui ne le savaient pas, mon ordi principal (pour l'instant) est un imac (bouuuuh Apple, bouuuh) et donc, lorsque je veux maker, je dois allumer mon vieux ordinateur Windows qui ne peut plus se connecter à internet, c'est une des raisons de "pourquoi il est difficile pour moi de maker".
Enfin voilà, avec ce nouvel ordi (de même, je ne vais pas vous dire quel ordi c'est, on s'en fout, sachez juste que je vais l'appeler "Elmer", voilà) je vais enfin pouvoir maker assidument (et non pas jouer à pleins de jeux vidéos sur mon ordi (même si en vrai c'est dans mes objectifs aussi)), fini l'utilisation d'une clef USB dès que je veux importer une ressource. À moi le vrai making, wouhou !
Ah et oui, vous avez le droit de vous en foutre totalement, mais moi je suis content !
Là je vais faire de la pub pour d'autres projets:
En ce moment se déroulent les Alex d’or, une sorte de compétition où les meilleurs jeux créés sous RPG maker sont récompensés dans divers domaines. Si personnellement je n'y participe pas cette année, beaucoup d'autres makers ont présenté leurs jeux, c'était donc pour moi l'occasion de voir ce qui se faisait en ce moment dans le monde du making étant donné que pendant un an j'ai été loin de ce dernier. J'ai donc testé trois jeux en lice et... bon pour être honnête, j'ai pris des jeux de makers dont je connaissais le nom, j'ai pas vraiment pris au hasard, mais voilà, je ne savais pas à quoi m'attendre (je ne connaissais aucun jeu avant de les télécharger), pour moi ils sont tous les trois intéressants et je vais vous dire pourquoi:
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Katja est un jeu développé sous RPG maker VX Ace par "Pornopur" (FoxFiesta et JMLK) et qui semble être très inspiré par la vague du jeu-vidéo indépendant. On le remarque surtout au niveau de la narration épurée, sans doute un peu déjà vu, mais dont j’ai bien aimé les effets visuels pour souligner cette dernière durant le jeu.
Dès les premières secondes du projet, celui-ci nous fait débuter dans un univers onirique puis nous fait rencontrer le système de combat du jeu: Un A-RPG classique qui permet trois actions: Coup d’épée, Capacité variable, Objet.
Si celui-ci parait plaisant aux premiers abords, j'ai tout de même noté une tendance à finir par spammer les boutons sans réfléchir lors d’un trop grand afflux de monstres, ce qui est dommage aux vues de la diversité de ces derniers (au niveau de leurs caractéristiques ainsi qu’au niveau de leurs mouvements) qui permet la plupart du temps des combats qui demandent tout de même de la réflexion au niveau du meilleur choix de la capacité.
Dans l’ensemble, le parcours des maps est plutôt plaisant et les quelques énigmes qui les occupent sont bien développées même si lassantes par moment.
J’ai apprécié jouer pendant une quarantaine de minutes à ce jeu, cette durée permet d’avoir une expérience de jeu non-prise de tête, diversifiée et intéressante sans atteindre une lassitude qu’aurait généré un temps de jeu plus long.
Dès les premières secondes du projet, celui-ci nous fait débuter dans un univers onirique puis nous fait rencontrer le système de combat du jeu: Un A-RPG classique qui permet trois actions: Coup d’épée, Capacité variable, Objet.
Si celui-ci parait plaisant aux premiers abords, j'ai tout de même noté une tendance à finir par spammer les boutons sans réfléchir lors d’un trop grand afflux de monstres, ce qui est dommage aux vues de la diversité de ces derniers (au niveau de leurs caractéristiques ainsi qu’au niveau de leurs mouvements) qui permet la plupart du temps des combats qui demandent tout de même de la réflexion au niveau du meilleur choix de la capacité.
Dans l’ensemble, le parcours des maps est plutôt plaisant et les quelques énigmes qui les occupent sont bien développées même si lassantes par moment.
J’ai apprécié jouer pendant une quarantaine de minutes à ce jeu, cette durée permet d’avoir une expérience de jeu non-prise de tête, diversifiée et intéressante sans atteindre une lassitude qu’aurait généré un temps de jeu plus long.
Katja est donc un jeu court qui n'a pas que des qualités mais qui montre une belle maitrise de certains éléments de narration épurée (notamment les effets visuels), alors si la mise en scène vous intéresse, vous pouvez essayer le projet qui ne vous prendra pas trop de votre temps.
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The last survivors est un Survival-Horror créé sous RPG maker VX Ace par Brandobscure, qui nous plonge dans un monde post-apocalyptique, dû à un gaz étrange qui transforme les hommes en zombies.
Certes le jeu n’est pas parfait, étant un puriste de la narration, je me dois de dire que celle-ci reste bancale et un peu clichée, mais le créateur fait cependant tout pour nous plonger dans son univers, notamment par le biais de son mapping dont on voit qu'il a été travaillé. Le jeu débute d’ailleurs durant le début de l’épidémie, etl’univers apocalyptique présent est bien représenté.
Si le jeu est une démo, celle-ci nous laisse entrapercevoir les mécaniques du gameplay: Un A-RPG basé sur la recherche de matériaux permettant un crafting. Si cet élément est classique, un autre l’est moins: Le créateur nous propose un univers où certains de nos choix auront une réelle importance dans la suite du jeu, ainsi, on peut par exemple, choisir avec quel «clan» nous partagerons cette joyeuse expérience post-apocalyptique.
Alors finalement, The Last Survivors a certes des défauts facilement remarquable, notamment au niveau de la narration qui peut gêner l’immersion, mais il possède aussi ses points forts. Si j'ai choisi de vous en parler c'est pour recommander de suivre les makers qui ont de l'ambition et qui veulent bien faire, il est, pour moi, trop facile de critiquer sans aider.
Certes le jeu n’est pas parfait, étant un puriste de la narration, je me dois de dire que celle-ci reste bancale et un peu clichée, mais le créateur fait cependant tout pour nous plonger dans son univers, notamment par le biais de son mapping dont on voit qu'il a été travaillé. Le jeu débute d’ailleurs durant le début de l’épidémie, etl’univers apocalyptique présent est bien représenté.
Si le jeu est une démo, celle-ci nous laisse entrapercevoir les mécaniques du gameplay: Un A-RPG basé sur la recherche de matériaux permettant un crafting. Si cet élément est classique, un autre l’est moins: Le créateur nous propose un univers où certains de nos choix auront une réelle importance dans la suite du jeu, ainsi, on peut par exemple, choisir avec quel «clan» nous partagerons cette joyeuse expérience post-apocalyptique.
Alors finalement, The Last Survivors a certes des défauts facilement remarquable, notamment au niveau de la narration qui peut gêner l’immersion, mais il possède aussi ses points forts. Si j'ai choisi de vous en parler c'est pour recommander de suivre les makers qui ont de l'ambition et qui veulent bien faire, il est, pour moi, trop facile de critiquer sans aider.
Quand j'ai joué à ce projet, j'ai surtout ressentie l'envie de bien faire de Brandobscure et ça m'a donné envie de dire du bien de son jeu. Alors voilà, je préfère soutenir des projets qui ont certes des défauts, mais dont au moins le maker semble faire tout son possible pour les corriger et faire de son mieux pour que l'on s'amuse en jouant. Et ça, c'est une qualité que tout maker devrait avoir.
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Pendulum est un jeu créé sous RPG maker VX par Knighty et ce n'est pas parce que j'en parle en dernier que c'est celui que j'ai le moins apprécié. Au contraire, c'est typiquement le genre de jeux amateur que j’aime. Alors certes lorsque l’on regarde les screens on n’est pas impressionné, le jeu en lui même est plutôt classique: Un mapping maitrisé mais pas extraordinaire, un gameplay classique pour un RPG et pourtant, c’est un jeu que je vous conseille de suivre attentivement.
Mon expérience de jeu a été sincère, c’est à dire que je ne me suis pas forcé pour terminer la démo, j’étais dans le jeu et c’est avec un certain plaisir que j’avançais dedans. Malgré les «défauts» (qui à mes yeux n’en sont pas vraiment) que j’ai cité plus haut, Pendulum a une grande qualité que peu d’autres jeux faits avec RPG maker ont également: Il a un narration de qualité.
Alors qu’est-ce que j’appelle «narration» ? Pour moi, c’est la manière de raconter une histoire, ça n'est pas le scénario en lui même, c'est la manière dont il est raconté: comment sont écrit les dialogues, l’entente entre plusieurs personnages, et c’est quelque chose que maitrise Knighty. En effet, quand je joue à un jeu amateur à «grande réputation», je suis souvent surpris de ne pas accrocher, et souvent la cause de ce fait est que malgré des supers scripts et/ou des superbes maps en parallaxe, je n’arrive pas à rentrer dans l’histoire, qu’elle soit maladroite ou non, certains makers ne savent pas la rendre vivante. Encore une fois, je ne parle pas de scénario, le scénario peut être bon, mais s'il est mal raconté, il n'est pas intéressant.
Pour revenir à Pendulum, on se plait à découvrir le scénario justement, les personnages, leur passé, les mystères qui les entourent. Ce genre de détail ne peut pas être ignoré, c’est ce qui fait que lorsque l’on a terminé on se dit «Mince, il reste encore pleins de trucs que j’ai envie de savoir». L’expérience que j’ai vécu à travers Pendulum, c’est l’expérience que j’espère transmettre lorsque je make mon propre jeu.
Je suis peut être trop élogieux, mais je suis content d’enfin tomber (après, je ne me suis pas intéressé beaucoup au monde du making ces dernières années comme je l'ai dit au début) sur un projet de ce style. De même je n’ai pas trop expliqué le scénario, ni les atouts du gameplay (par exemple le système de combat et les particularités de chaque personnage qui est très intéressant) mais je vais plutôt vous renvoyer à la présentation de l’auteur pour ça (J'espère que vous aviez compris qu'en cliquant sur le nom du jeu, ça ramenait à une présentation de ce dernier, non ?), parce que la seule chose que j’ai envie de dire c’est: Jouez à Pendulum si vous êtes un maker, c’est certes pas un projet parfait (comme tous les projets au final !), mais c’est pour moi une très bonne expérience et ce projet illustre très bien ce qu’est une bonne narration.
Mon expérience de jeu a été sincère, c’est à dire que je ne me suis pas forcé pour terminer la démo, j’étais dans le jeu et c’est avec un certain plaisir que j’avançais dedans. Malgré les «défauts» (qui à mes yeux n’en sont pas vraiment) que j’ai cité plus haut, Pendulum a une grande qualité que peu d’autres jeux faits avec RPG maker ont également: Il a un narration de qualité.
Alors qu’est-ce que j’appelle «narration» ? Pour moi, c’est la manière de raconter une histoire, ça n'est pas le scénario en lui même, c'est la manière dont il est raconté: comment sont écrit les dialogues, l’entente entre plusieurs personnages, et c’est quelque chose que maitrise Knighty. En effet, quand je joue à un jeu amateur à «grande réputation», je suis souvent surpris de ne pas accrocher, et souvent la cause de ce fait est que malgré des supers scripts et/ou des superbes maps en parallaxe, je n’arrive pas à rentrer dans l’histoire, qu’elle soit maladroite ou non, certains makers ne savent pas la rendre vivante. Encore une fois, je ne parle pas de scénario, le scénario peut être bon, mais s'il est mal raconté, il n'est pas intéressant.
Pour revenir à Pendulum, on se plait à découvrir le scénario justement, les personnages, leur passé, les mystères qui les entourent. Ce genre de détail ne peut pas être ignoré, c’est ce qui fait que lorsque l’on a terminé on se dit «Mince, il reste encore pleins de trucs que j’ai envie de savoir». L’expérience que j’ai vécu à travers Pendulum, c’est l’expérience que j’espère transmettre lorsque je make mon propre jeu.
Je suis peut être trop élogieux, mais je suis content d’enfin tomber (après, je ne me suis pas intéressé beaucoup au monde du making ces dernières années comme je l'ai dit au début) sur un projet de ce style. De même je n’ai pas trop expliqué le scénario, ni les atouts du gameplay (par exemple le système de combat et les particularités de chaque personnage qui est très intéressant) mais je vais plutôt vous renvoyer à la présentation de l’auteur pour ça (J'espère que vous aviez compris qu'en cliquant sur le nom du jeu, ça ramenait à une présentation de ce dernier, non ?), parce que la seule chose que j’ai envie de dire c’est: Jouez à Pendulum si vous êtes un maker, c’est certes pas un projet parfait (comme tous les projets au final !), mais c’est pour moi une très bonne expérience et ce projet illustre très bien ce qu’est une bonne narration.
Là je vous dis "Au revoir !":
Au revoir !
Plus sérieusement, c'est la fin de cette news HS qui a tenu ses promesses: J'ai pas parlé de Luminatis dedans ! Pour en parler rapidement quand même (et pour teaser la news de la semaine prochaine), j'ai quand même bien avancé, et l'acquisition d'un nouvel ordinateur va me permettre de passer aux choses sérieusesnotamment un grand pas à franchir et pour ça, j'avais besoin d'avoir accès à une connexion internet pour pouvoir utiliser Steam (J'imagine que certaines personnes ont compris ce que je comptais faire du coup, non ?... Non ?... Bon bah tant pis)
À la semaine prochaine et bonne continuation !